mardi 2 mars 2010

L'union Européenne impuissante?

Depuis quelques mois, la Grèce est au centre de problèmes financiers qui ne se rêglent pas.Malgré tout, on observe la solidarité de la plupart des pays de l'union européenne, qui de leur coté désirent mettre sur pied des procédures plus strictes consernant les budjets de l'Europe. Pour se faire, l'Eurogroupe doit biensûr avoir l'accord de la Grèce, chose qui tarde...

Vouloir aider un pays en déficite à se remettre sur pied, bien entendu, c'est une chose beaucoup plus facile à dire qu'a faire.

Le premier ministre de la Grèce, Georges Papandréou a annoncé la possiblilité du gèle des fonds de retraite pour la prochaine année, histoire de remettre le pays sur pied. Est-ce vraiment une bonne idée? Avec un peu de chance, le peuple ne protestera pas cette proposition défavorable à leur égard.

On reconnait toutefois, l'aide de l'Allemagne, nottamment cette semaine, puisque la Grèce débutera les pour-parlers, afin que le pays aidant puisse débloquer des fonds d'aide afin que la Grèce puisse avoir une économie qui tient le coup. L'allemagne désire non seulement aider la Grèce, mais aussi redonner, aux marchés économiques, confiance en la monnaie européenne, donc du même coup, sortir l'union européenne de l'impasse qui l'accable.

On peut toujours considérer que le problême restera un fadeau pour la Grèce pour plusieurs années encore, mais l'europe reste solidaire et les pays consernés ont la ferme intention de venir en aide à la Grèce, même si celle-ci refuse. En effet, ce dosier reste à suivre, étant donné les pour-parlers, il sera moins plus facile de reconnaitre la decision de l'Allemagne pour pouvoir faire suite à la situation.


MARIE-EVE BRAULT PELLETIER

2 commentaires:

  1. En fait, la Grèce ne veut pas d'aide car elle se dit capable de remonter son PIB à 4,3% d'ici un an. Elle fera des gèles de salaire pour la fonction publique ainsi qu'une diminution du personnel dans la fonction publique. Tout les ministres de la Grèce n'auront plus le droit à des bonus pour les prochaines années en plus que la Grèce veut ajouter des taxes sur les matériaux de luxe, l'eau et une augmentation des taxes déjà instauré.

    En revanche, l'Allemagne ne veut pas vraiment aider la Grèce, car elle dit que cela pourra créer un précédent dans l'histoire de l'UE (Union Européenne) et que les prochains pays qui seront en difficultés économiques se retourneront automatiquement vers l'Allemagne pour qu'elle puisse les aider, ce qu'elle ne veut pas du tout.

    Le budget et les nouvelles sanctions du premier ministre de la Grèce, Georges Papandréou devraient être dévoilées le 5 mars prochain dans le cadre d'un congrès de l'UE et de la zone euro. À la suite, si M. Papandréou ne donne pas satisfaction à la zone euro, celle-ci devrait ajouter des sanctions et trouver des moyens pour remonter le PIB du pays.

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  2. Il est important de savoir que la Grèce n'est pas toute seule à subir les effets de cette crise économique. En effet, l'Allemagne, l'Italie, le Portugal, l'Islam et Le Royaume-Uni en sont victime, quoique ce dernier bénéficie en ce moment d'une croissance économique qui pourrait l'aider à s'en sortir.

    D'ailleurs, les banques Wall Street, Goldman Sachs et Jp Morgan en sont les principales coupables de cette panique économique. Depuis des années, ces institutions ont cachées les dettes de ces pays car elles ont faites du profit grâce au problème, soit 300 millions en commissions.

    Mais, des solutions sont en cours. En effet, le directeur du FMI (Fond monétaire international) Dominique Strauss propose une démarche préventive. L'association se doterait donc d'un nouveau rôle: superviser minutieusement dans les années à venir les banques pour éviter que cela se reproduise.

    Bref, reste à savoir si les pays et les banques apprendront de leurs impairs.

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