mardi 30 mars 2010
Dépouillement terminé, mais un gouvernement loin d'être mis en place
Cependant, si m. Allaoui réussi à former un nouveau gouvernement, il lui restera encore à gagner la confiance des forces de sécurité. On devrait s'attendre aussi à ce que l'Iran multiple leurs ingérences vu l'influence que l'actuel vainqueur possède en Irak.
Rencontre présidentielle
Semaine du 22 au 27 mars 2010
par Alexandra Philibert
Cette semaine, après s'être attiré les foudres de la communauté internationale et des Palestinien, le président Israélien rencontrait le président américain Barack Obama. Il a rencontré celui-ci lors de son passage aux états-unis où il devait rencontrer Hilary Clinton ainsi que se présenter devant le AI-PAC, haut lobby juif américain pour discuter des décisions prise concernant la colonisation juive.
Conclusion d'Israël
Benjamin Nétanyahou a fait peu de cas du mécontentement de Barack Obama, il a menacé dès sa sortie de la rencontre que « si les États-unis soutenait les demandes déraisonnables de la Palestine, il y aura gel du processus politique pendant un an. »
Il a stipulé par la même occasion la constructions de 20 nouveaux logements à l'emplacement d'un hôtel palestinien du nom de Sherperd dans le quartier palestinien Sheik Jarah avec l'accord de la municipalité de Jérusalem. Notez toutefois que le projet de colonisation juive s'étend maintenant à près de 2000 logements.
Réplique de la communauté internationale
Tandis qu'Obama demande à Israël de rebâtir la confiance dans le processus de paix qui ne semble pas avoir d'espoir, Ban Ki-moon Directeur de l'ONU demande à la Ligue Arabe de se mêler du dossier. Ainsi, celle-ci a décidé de porter une aide financière de 500 millions de dollars aux Palestinien afin de les aider à construire des logements , de mettre à leur disponibilité l'éducation ainsi que de dédommager, les palestiniens qui ont été expulsé. Elle a aussi demandé au Quartet et à ONU d'accentuer leur pression sur Israël pour que Benjamin Nétanyahou assouplisse ses démarches pour pouvoir débuter les négociations indirectes entre eux et la Palestine.
Litige
Ce qui pousse maintenant le président Israélien a choisir entre ses alliés radicaux ultra nationalistes et le reste du monde. Aux yeux des premiers il s'agit de la terre promise, tandis que pour la communauté internationale, Jérusalem-Est annexé n'a toujours pas été reconnu depuis sa prise de possession par les juifs en 1967 comme leur territoire. Pendant cette tumulte à l'internationale, Il y a eu échange de tirs près de la Bande de Gaza (Territoire occupé par les juifs) qui ont fait plusieurs morts, dont 2 soldats israélien et 2 soldat palestinien. La branche armée du Hamas, Ezzedin al-Qassam a revendiqué l'évènement.
Alexandra Philibert
Google dit non à la censure!
Melina Medeiros
Après les États-Unis, c’est au tour de Google d’être en conflit avec la Chine. Le 22 mars Google mettait fin à la censure de son moteur de recherche malgré le mécontentement de Pékin. D’ailleurs, la Chine accusait ce groupe d’avoir « […] violé une promesse écrite […]» faite à l’arrivée de Google dans ce pays. Ce qui démontre que la Chine est déterminée à garder le contrôle sur l’information divulguée sur internet.
Histoire de censure
D’ailleurs, on voit à travers les années que la Chine prend tous les moyens pour réussir à garder son peuple dans l’ignorance. Ceci se voit surtout lorsque la Chine engage des personnes par milliers pour décider de l’usage que doit faire les chinois d’internet et du contenu qu’on y trouve. De plus, ces gens s’assure de bloquer l’accès aux sites étrangers et encourager la population à l’autocensure. Ces moyens sont encore utilisés aujourd’hui et avec la découverte de nouvelles technologies, comme les serveurs proxy, la tâche est d’autant plus facile.
Bonnes et mauvaises nouvelles
La décision de cesser de se plier à la censure est survenue à la suite d’attaques informatiques visant son code source et la messagerie Gmail de militants chinois des droits de l’homme. Suite à cela, Google a décidé qu’il quitterait la Chine si les autorités s’opposaient à la décision de cesser la censure. Bien sur, Pékin a réagit fortement à cette annonce. Mais malgré cela, le géant américain de l’Internet a décidé tout de même de rester en redirigeant ses internautes vers son site de Hong Kong. D’ailleurs, cela fait le bonheur du Human Rights in China qui encourage Google à lui tenir tête.
Malgré ce grand pas pour les droits de l’homme en Chine, celle-ci réussi tant bien que mal à contrôler l’information grâce à ses technologies. Et certains craignent que les groupes Internet soient soumis à encore plus de pression, ce qui les encouragerait à quitter la Chine pour de bon. En plus, les États-Unis disent être déçus que les deux n’aient pas réussi à trouver une entente. Bref, reste à voir si Google tiendra bon!
l'impuissance des gentils, face à la puissance des méchants?
lundi 29 mars 2010
Cartels de la drogue: les hauts responsables américains arrivent, les Mexicains mécontents
Suite à un drame impliquant la mort de deux jeunes étudiants atteint par des balles perdues lors de conflits entre les cartels et les forces de l'ordre, une opération militaire d'envergure a été lancée lundi autour de la ville mexicaine Monterrey. Cette ville était sous le contrôle des cartels, ces derniers ayant bloqués plusieurs avenues principales.
On se souviendra que dans les 3 dernières années, le conflit entre les différents gangs rivaux se disputant la vente de drogue au très lucratif marché américain s'est grandement intensifié, ayant fait perdre la vie à au moins 15 000 personnes.
La secrétaire d'État américaine Hilary Clinton, accompagné du secrétaire à la Défense Robert Gates, est venue à Mexico au courant de la semaine pour réitérer son engagement dans ce conflit, affirmant que les pays ont une «responsabilité commune» et que les Mexique et les États-Unis ont «une des relations bilatérales les plus étroites au monde».
Toutefois, ce voyage de grand apparat survient 1 semaine après l'assassinat de deux américains travaillant pour le gouvernement à Ciudad Juarez, à la frontière du Mexique face à El Paso, au Texas. Ainsi, la population mexicaine reste bien méfiante face à leur voisin, comme on peut en témoigner par divers témoignages: «Eux, ils consomment la drogue, mais c'est nous qui en mourons.», ou bien «Mais ne nous y trompons pas: lorsque ce cabinet de crise se déplace en bloc, c'est pour aller en Irak ou en Afghanistan, pour mettre au point des plans d'attaque et des invasions dans des pays instables», annoncent divers éditoriaux mexicains. Malgré les milliers de morts depuis 3 ans, c'est en effet seulement après la mort de deux américains que le gouvernement des États-Unis a décidé d'envoyer les hauts responsables.
Néanmoins, tout n'est pas noir! C'est mercredi que le principal fournisseur d'héroïne des États-unis, Jose Antonio Medina, a été arrêté au Mexique. Ce «roi de l'héroïne» faisait passer une moyenne mensuelle de 200 kg d'héroïne vers les États-Unis.
Les pays émergents font leur place
Par: Audrey Daoust-Sauvé
Il a été annoncé, il y a quelques semaines dans le devoir, que l'économie des pays émergents, la Chine, l'Inde, le Brésil, la Russie, le Mexique, l'Indonésie et la Turquie allaient mieux se sortir de la crise économique mondiale que bien des pays qui sont déjà avancés, dont ceux du G7.
La Chine a bien prit son élan pour y arriver. Ce pays a prit la place du Japon au
2e rang et devient la 2e économie mondiale avec un PIB de 4900 milliards de dollars. En 2030, on a même projeté que son PIB (produit intérieur brute) pourrait surpasser celui des États-Unis.
La chine fait encore plus sa place dans l'économie mondiale. Avec la Russie et la Corée, ces trois pays ont les moyens de faire avancer le marché des centrales nucléaires qui est prometteur pour les années à venir. Ces centrales pourraient représenter 1000 milliards de dollars d'investissements d'ici 20 ans et ce sont ces trois pays, la Chine, la Russie et la Corée qui sont les plus qualifiés pour faire aboutir ce projet. Tout cela pourrait faire changer le cour de l'économie mondiale. Plusieurs pays sont intéressés, dont 40 pays émergents, à cette nouvelle source d'énergie qui amène de l'électricité et qui peut remplacer le pétrole. D'ici 2015, il y a de 10 à 15 pays qui veulent mettent en service leur première centrale nucléaire, mais ce n'est pas les 400 projets prévus par la Chine, la Russie et la Corée qui verront le jour bientôt, car il y a un manque de main d'oeuvre qualifié, de matériel et surtout de culture nucléaire. Mais ce projet a déjà bien démarré.
dimanche 28 mars 2010
La présidente du (FDU) rwandais dans l'embarra
Mme Victoire Ingabire, qui fait parti de l'opposition rwandaise, il s'agit des Forces démocratiques unifiées (FDU) duquel elle est la présidente, s'est vue empêcher de quitter le pays. Ses paroles ont déjà été très mitigés, puisqu'après être allée commémorer un mémorial Tutsis pour le triste anniversaire du génocide de 1994, elle a déclaré que l'on devrait aussi juger les criminels qui ont sévis contre les Hutus, sachant que ce sont les Hutus qui ont massacré les Tutsis durant le génocide au Rwanda.
Elle aurait été arrêté par les autorités rwandaises, alors qu'elle s'apprêtait à prendre l'avion à l'aéroport de Kigali. C'est qu'elle ne devait pas quitter le territoire, puisqu'elle devait participer à une convocation par les autorités locales. Elle aurait déjà été interrogé plusieurs fois par les policiers, par rapport à son implication lors du génocide de 1994.
Elle nie toujours sa participation à ce génocide qui, rappelons-le, a causé la mort de près de 800 000 personnes, dont presque tous des Tutsis. Un de ses collaborateur, Joseph Ntawangundi, avait d'ailleurs été jugé coupable de son implication. Le parti (FDU) duquel elle est la présidente avait été «créé en exil et n'a pas encore été enregistré par les autorités rwandaises» source venant du devoir du 21 mars 2010 tiré de la section monde, de l'agence de presse AFP.
Retour historique sur les événements
Le Rwanda est un pays de l'Afrique de l'est. Le génocide fut perpétré lors d'une guerre civile, il a eu lieu entre avril et juillet en 1994. Aujourd'hui, près de 16 ans plus tard, dans les villages on fait cohabiter Hutus et Tutsis, qui trouvent parfois difficile la cohabitation entre tueurs et survivants.
Villepin une menace pour Sarkozy
L'ex premier ministre français, Dominique de Villepin, a prononcé Jeudi à un violent réquisitoire contre Sarkozy puisque la partie de droite vivent dans un échec électoral. Sa réquisitoire cherche à poser une solution de rechange à droite pour la présidentielle de 2012. Villepin affirme que le mot qui décrit son combat c'est une République Solidaire. De plus, il dit qu'il n'a pas de solution miracle mais, il croit en la France. Malgré la défaite de l'UMP, L'Union pour un Mouvement Populaire, aux élections régionales Villepin annonce la création d'un mouvement politique libre dont le nom sera dévoilé le 19 juin. Villepin veut crée un mouvement politique libre et indépendant ouvert à tous.
Selon Sarkozy, il a affirmé Mercredi qu'il a la volonté de poursuivre les réformes tout en mettant clairement la barre à droite. Mais, Villepin affirme qu'uniquement le changement de cap qui permettra la France de sortir de la crise à la fois sociale, économique et culturelle. Sans dicter le nom Nicolas Sarkozy,Villepin critique le pouvoir trop personnel, plaidé pour une justice fiscale et appelé une réelle séparation des pouvoirs notamment au niveau judiciaire. Soulignons que Villepin était le premier ministre entre 2005 et 2007,il était à l'opposition de la guère en Irak en 2003 et sn handicap majeur c'est d'affronter le suffrage universel.
Tentative de paix en Afghanistan
Lors des célébrations du Nouvel An perse, le vice-président afghan, Mohammad Qasim Fahim a déclaré souhaiter que la conférence nationale organisée prochainement dans le pays, la «jirga de la paix*», permette de «jeter les bases d’une paix durable» entre le gouvernement et les insurgés. Cette rencontre prévue pour fin avril ou début mai est en fait une assemblée traditionnelle afghane réunissant les chefs de chaque tribu et où les décisions sont prises par consensus.
À peine 24 heures suivant cette déclaration, une délégation du groupe d’insurgé islamiste Hezb-e-Islami est venue présenter un plan de paix au président Hamid Karzaï. Ce plan comporte quinze points dont l’un exige « un calendrier clair de retrait » des troupes internationales. Le groupe tient vivement à ce point, car cette demande avait déjà été formulée en janvier lorsque son chef, Gulbuddin Hekmatyar avait déclaré être ouvert au dialogue avec le gouvernement. Bien que le président ait rencontré la délégation, on peut déjà prédire qu’il sera difficile pour le gouvernement afghan de trouver un terrain d’entente sans irriter ses partenaires américains. Effectivement, les États-Unis ont toujours manifesté leur fermeture à négocier avec des rebelles liés à Al-Qaïda ou le mollah Omar. Or, il advient que le Hezb-e-Islami, deuxième groupe d’insurgés en importance en Afghanistan après les talibans, est dirigé par l’ancien premier ministre Gulbuddin Hekmatyar : celui-ci figure sur la liste noire de l’ONU, Washington l’a désigné en 2003 comme terroriste et il est d’ailleurs recherché pour avoir participé et soutenues des actes perpétrés pas Al-Qaïda et les talibans.
De plus, les relations qu’entretient le groupe d’insurgés avec les talibans ne sont pas claires, tantôt alliées, tantôt ennemies dépendamment de la région, il est difficile pour le gouvernement d’avoir confiance. Chose certaine, malgré la ligne dure qu’ont empruntée les talibans du mollah Omar, les deux groupes d’insurgés sont d’accord sur un point ; ils exigent le départ des forces étrangères. Depuis très longtemps, le président Karzaï milite afin d’obtenir la paix, en janvier, il a proposé un plan de réconciliation donnant argent et travail à ceux désirant changer de camps.
* Site internet de Radio-canada : http://tempsreel.nouvelobs.com/depeches/international/asiepacifique/20100321.FAP5414/afghanistan_13_civils_tues_le_vicepresident_appelle_a_l.html
Obama parmi les grands présidents.
Après plus d’un an de pourparlers entre les démocrates et les républicains, la décision est tombée en faveur de cette loi. Par contre, ce n’est pas sans effort qu’Obama a su faire accepter le projet-phare de son mandat à la présidence. Afin de faire accepter cette réforme aux yeux de ses adversaires: les républicains, Obama a opté pour un discours beaucoup ferme et a maintenu son point de vue avec ardeur pour finalement finir avec un vote de 219 voix pour et 212 contre.
Ce suffrage plutôt serré est contesté par 14 États américains dont la Floride qui est le chef de file de ce conflit. Ceux-ci affirment que la réforme va contre la Constitution des États-Unis, car elle ne respecte pas la clause sur le commerce parce que tous les américains sont soumis à s’inscrire à l’assurance maladie. De plus, selon eux, la nouvelle loi ne respecte pas le deuxième amendement. Suite à ces accusations, Obama a répliqué que les démarches entreprises contre l’assurance maladie ne verraient jamais le jour.
Il faut prendre en considération que ce nouvel amendement était le but premier d’Obama afin de convaincre les Américains de voter en sa faveur au élection de mi-mandat, en septembre. Par contre, Obama pourrait se voir surpris, selon un sondage de CNN, 59% des citoyens sont contre ce projet. L’une des première raison est qu’ils ne comprennent pas ce qu’implique cette loi: les Américains sont certains que l’assurance maladie va enfoncer l’économie encore plus bas qu’elle l’est déjà et que celle-ci va faire monter les impôts.
Obama a donc un nouveau mandat afin de regagner la confiance du peuple, il doit expliquer à ceux-ci en quoi consiste son idée malgré le fait que la réforme fait de nombreux mécontents.
mardi 23 mars 2010
L’Afghanistan est un pays ou l’espérance de vie ne dépasse pas 50 ans. Or, un rapport de l’UNICEF affirme que le taux de mortalité infantile y est le plus élevé. Pour un petit enfant afghan sur quatre leur vie ne dépassera pas cinq ans.
En effet, le directeur régional de l’UNICEF en Asie du Sud, Daniel Toole explique que « la situation en Afghanistan dans son ensemble est l’une des plus dramatiques en Asie du Sud et même dans le monde. Pour un enfant, l’Afghanistan est l’endroit le plus difficile ou il peut naitre. » Cette déclaration fait réfléchir. De plus, on apprend selon des statiques de l’Unicef fait en 2008 qu’un enfant sur quatre meure avant l’âge de cinq ans. Mais pourquoi ? Les réponses sont nombreuses et désolante.
D’une part, il y a la violence qui fait partie de la réalité afghane à chaque jour. Les insurgés et les troupes étrangères se font la guère et cela cause des répercutions néfaste pour la pour la population. Les gens sont forcés de fuir pour se refugier du danger. D’autre part, il y entre autre des abus sexuels qui n’aide pas le cas des enfants, surtout les jeunes filles. Ces affirmation ne peut laisser personne indifférant, d’autant plus que ce pays est au la prise avec d’autres conflits important, comme par exemple la pression des insurgés pour faire du pays un endroit islamique pur. Il ne faut pas oublier la présence des soldats américain et canadien qui tente de remettre de l’ordre au sain de la société pour une vie plus paisible pour le peuple afghan.
Il y a tout de même une note positive, M.Tool assure qu’il y a un bon nombre de jeunes filles qui ont accès à l’éducation.
Stéphanie Germain
La boîte orange
Par Vincent H. Turgeon
Vous rappelez-vous des petites boîtes oranges de l’UNICEF que nous avions autour du cou pour passer l’halloween? Nous n’étions sûrement pas conscients, à l'époque, du geste que nous posions. Pourtant, les enfants de certains endroits sur la Terre ont énormément besoin d’aide venant d’organisme comme l’UNICEF. Un rapport fait par cette section de l’ONU annonçait cette semaine que l’Afghanistan était le pire pays où naître et avec raison : 25% des jeunes meurent avant d’avoir atteint l'âge de cinq ans et 16,5% ne terminent pas leur première année de vie.
Ces statistiques sont en partie dues au conflit sévissant présentement en Afghanistan qui crée une grande insécurité alimentaire chez l’ensemble de la population. Or, nous savons tous qu’une malnutrition est beaucoup plus mortelle chez les enfants. L’UNICEF compte avoir besoin de près de 28 millions en argent US pour aider ce pays du Proche-Orient; dont plus de 1 million seulement pour la protection de l’enfance.
Heureusement, le groupe pour l’éducation présent en Afghanistan et dont l’UNICEF est le chef permettra, en 2010, à environ 100 000 jeunes non scolarisés de retourner à l’école par la fabrication de bâtiments scolaires et en développant du matériel pour enseigner. On verra également un renforcement de capacités dans les hôpitaux et cliniques afin d’offrir des services améliorés à plus de 175 000 enfants de moins de cinq ans.
En tant que citoyen ayant accès à un système de santé et scolaire public, nous pourrons penser à tous les effets qu’engendre un simple deux dollars dans une petite boîte orange le 31 octobre prochain.
Les femmes guatémaltèques sans cesse confrontée à la violence
semaine du 16 au 23 mars 2010
L’an passé, le lancement de la campagne mondiale de la lutte contre la violence faite aux femmes a eu lieu au Guatemala. L’Organisation des Nations-Unis avait l’intention de sensibiliser la population à cette cause, ce qui ne semble pourtant pas avoir eu d’impact important.
Malgré l’adoption de la loi visant la protection des femmes adoptée en 2008 par le Parlement guatémaltèque, les plaintes des femmes deviennent rapidement des dossiers oubliés. En fait, près de 2000 plaintes ont été déposés depuis son instauration et pourtant les accusations se font que très rare. De plus, lorsqu’une plainte est déposée à la police, le fait qu’il s’agisse d’une agression à caractère sexuel n’est que rarement pris en considération, selon Geneveva Marroquin, membre de l’Union nationale des femmes du Guatemala. Celle-ci mentionne également qu’après toutes ces années de guerre, le viol semble être devenu banal. Ainsi, les femmes, dont la plupart sont mères de famille, n’ont pas d’autre choix que de retourner vivre auprès de leur agresseur, d’après les propos de Lubia Menendez, membre du Réseau des femmes de Chiquimula.
D’après les autorités du Guatemala, les statistiques dévoilent 4000 assassinats de femmes entre 2001 et 2010. Par contre, de plus récentes enquêtes, menées par des organisations non gouvernementales, estiment plutôt que le bilan monterait jusqu’à 7000 et ce sur le même lapse de temps. Selon Mme Marroquin et Mme Menendez, la pensée culturelle qui domine le pays n’aide pas à la cause puisque dans cette région du monde, le statut des femmes est très rabaissé. Elles n’ont, entre autre, aucune autonomie financière parce que les emplois sont réservés aux hommes. Ceci rend donc les femmes complètement dépendantes de leur mari et elles se voient ainsi dans l’obligation d’endurer la violence, sous toutes ses formes.
La Thaïlande voit rouge!
15 au 22 mars 2010
Cette manifestation en surprend plusieurs, car contrairement aux préjugés, elle se déroule de manière pacifique et les gens semblent appuyer leur cause. Les manifestants pro-Thaksin usent de plusieurs moyens de pression face au gouvernement. Par exemple, le 16 mars dernier, les '' chemises rouges '' ont pris un bain de sang symbolique en face du Parlement afin de montrer les nombreux sacrifices qu'ils ont faits au nom de la démocratie. Ce moyen n'est en réalité qu'un parmi tant d'autres utilisés par les manifestants afin de montrer leur détermination à obtenir ce qu'ils réclament. Même les enfants dans les rues jouent à manifester, ce qui montre à quel point cet événement regroupe tous les gens.
Pour ce qui est de M. Thaksin, il est actuellement réfugié à Monténégro. Après avoir été renversé en 2006, il avait été condamné à deux ans de prison pour des malversations financières. Il avait alors fui son pays afin d'éviter d'aller en prison.
lundi 22 mars 2010
Un recomptage suite à des résultats serrés?
Semaine du 15 au 20 mars 2010
Les dernières élections législatives irakiennes ont eu lieu le 7 mars dernier et l'on ne connaît toujours pas le vainqueur de celles-ci. Le jeu est très serré entre le premier ministre Nouri al-Maliki et Ayad Allaoui, l'ancien chef du gouvernement. Il est à noter que Nouri al-Maliki est le premier ministre du président irakien Jalal Talabani. Suite aux résultats préliminaires du week-end du 13 et 14 mars 2010, l'avantage était donné à Maliki. Le dépouillement des bulletins est présentement d'environ 96 % et, jusqu'à présent, Ayad Allaoui du Bloc irakien est en tête avec une courte avance au niveau national en termes de suffrages. Par contre, du côté des provinces, c'est plutôt la liste État de droit de Nouri al-Maliki qui l'emporte. En fait, le parti de Maliki remporte dans sept provinces comparativement à celui d'Alloui qui a l'avantage dans seulement cinq des 18 provinces.
De plus, même si le vote et le dépouillement se sont plutôt déroulés dans l'ordre et le calme, les deux partis en tête soupçonnent qu'il y a eu des fraudes. De cette façon, le président irakien Jalal Talabani s'implique dans la situation en réclamant un nouveau décompte. En comptant de nouveau les bulletins de manière manuelle à compter du dimanche 21 mars permettrait d'éliminer les soupçons à propos des résultats. Suite à ces demandes, la commission électorale indépendante s'est opposée et le président de cette commission a confirmé que les résultats seraient présentés vendredi soir.
Qui de Nouri al-Maliki ou d'Ayad Allaoui sortira vainqueur de ces élections législatives irakiennes? Ce sera à surveiller jusqu'au vendredi 26 mars 2010!
Élection régionale pour l'Union Européenne
dimanche 21 mars 2010
Un projet immobilier vient nuire au processus de paix israélo-palestinien, et vient rompre des liens de confiance avec les États-Unis.
Le ministère de l’intérieur israélien a approuvé la construction de 1600 nouveaux logements à Jérusalem-Est, dans un quartier juif et ceci pendant la visite de Joe Biden, le vice-président américain. Depuis l’annonce de ce projet immobilier, les relations entre les États-Unis et l’Israël sont plus tendues. La secrétaire d'État, Hillary Clinton est d’autant plus insulté par ses nouvelles, étant donné qu’elle avait exigé lors d’une discussion avec le premier ministre israélien, Benjamin Nétanyahou de lui démontrer, à l’aide de preuve formelle, ses intentions pour éventuellement pouvoir restaurer la paix avec les Palestiniens. Il a proposé d’optimiser ses échanges avec la Palestine en libérant des détenues, en levant le barrage en Cisjordanie et en transférant l’autorité palestinienne de l’ordre de certains secteurs.
Pourtant, ces actions attestent le contraire puisque la construction de ses nouveaux logements vient contrer toute perspective de paix. Le bâtiment se situe dans la ville sainte qui a été conquise en 1967 par Israël, cependant ce secteur est annexé par une majorité arabe. Par conséquent, les Palestiniens attendent que l’État israélien cesse toute activité de colonisation pour pouvoir reprendre les négociations.
En effet, cette situation prend une envergure internationale. Plusieurs forces se sont alliées pour épauler le processus de paix entre les deux parties qui est présentement en voie de crise. Les États-Unis, la Russie, l’Union européenne et les Nations unies veulent un gel total de la colonisation pour pouvoir organiser un pourparler entre l’Israël et la Palestine, avant que la situation se détériore. D’une part, leur mission est d’aboutir l’occupation Israélienne pour ensuite, créer un État palestinien.
Les États-Unis impliqués dans le conflit israélo-palestinien
Amérique du Nord
Alors que les relations israélo-palestiniennes se font de plus en plus tendues, les États-Unis ont réaffirmé leur soutien à l’État palestinien et critiqué la politique de colonisation du premier ministre israélien, Benjamin Nétanyahou, l’accusant de nuire aux pourparlers. Les États-Unis, alliés de longue date d’Israël, entendent soutenir ceux qui prendront les mesures nécessaires au retour de la paix.
Le vice-président américain Joe Biden, en visite au Proche-Orient afin de relancer les négociations entre les deux états rivaux, a condamné la décision de Nétanyahou de relancer la construction en Cisjordanie et à Jérusalem-Est. Monsieur Biden, appuyé par la Maison-Blanche, y voit une provocation tant envers la Palestine qu’envers les États-Unis. C’est considérer les efforts américains pour arriver à une entente comme étant vains et revient à détruire « la confiance nécessaire à des négociations fructueuses ». Hillary Clinton, la secrétaire d’état américaine, condamne l’attitude de Nétanyahou, la jugeant « profondément négative » surtout si l’on considère « le grand intérêt des États-Unis pour la sécurité d’Israël ». En outre, les médias en Israël ont fustigé le gouvernement Nétanyahou et ses décisions, y voyant une insulte à l’égard de Biden et des efforts américains.
Cette crise diplomatique entre Israël et États-Unis est d’autant plus grave que l’émissaire américain George Mitchell venait tout juste, après des mois d’efforts diplomatiques, de convaincre les deux camps d’entreprendre des négociations indirectes. Heureusement, rien n’indique un retrait de la Palestine, mais ce conflit éloigne davantage les perspectives d’une relance du processus de paix. Les regrets exprimés par Nétanyahou ne suffisent pas à convaincre Biden de la volonté du premier ministre israélien à favoriser un climat pacifique puisque ceux-ci ne portent que sur le moment mal choisi et non sur la politique de colonisation elle-même.
Benjamin Nétanyahou doit non seulement faire face aux pressions de Washington, mais aussi aux conséquences du tollé international dont il est responsable.
Il n'y a pas assez de problèmes en Afrique
Semaine du 15 au 21 mars
Dans l’Afrique sabsaharienne, l’accès aux antirétroviraux (ARV) est menacé. En effet, les bailleurs de fonds qui investissaient pour procurer aux Africains les ARV se désintéressent de plus en plus de la cause. Une ONG africaine s’inquiète au sujet de ce phénomène. Compte tenu de la pandémie qui se répand de plus en plus depuis 2001, les investisseurs devraient plutôt s’intéresser aux derniers événements concernant la propagation du sida au lieu de détourner et d’investir leur attention vers d’autres besoins, car les conséquences éventuelles peuvent en être désastreuses. En faits statistiques, 67% des 33,4 millions des personnes infectées par le sida sont originaires de cette région d’Afrique, sans compter les autres régions de ce pays qui constitue à lui seul un important foyer de propagation. CATAG (Central Africa Treatment Group) demande à la population internationale de renouveler leur engagement visant à mobiliser les ressources nécessaires pour favoriser l’accès universel aux soins et aux traitements antirétroviraux. Sans quoi, tous les progrès effectués pour contrer la propagation du sida et donner des soins aux individus infectés depuis 2001 risquent d’être en péril.
D’autre part, l’Afrique du Nord fait la chasse aux nouveaux armements, le Togo empêche les manifestations et fait 11 arrestations depuis la semaine dernière parmi les opposants aux résultats des élections présidentielles, le Nigéria voit treize autres victimes succomber à la mort à cause du conflit perpétuel ethno-religieux entre les pasteurs musulmans Peuls-Fulanis et les chrétiens Beroms dans la ville de Lagos, tout cela en plus de la dissolution du cabinet du Nigéria qui devra choisir rapidement les nouveaux membres de son gouvernement. Seul le pays du Soudan a un peu de repos cette semaine. Un traité de cessez-le-feu d’une durée de trois mois a été signé entre le gouvernement soudanais et les rebelles dafouris du Mouvement de libération pour la justice(MLJ). Rappelons-nous qu’un autre accord est déjà en vigueur entre Karthoum et les rebelles du JEM.
Le pétrole, une richesse rare pour certains pays
Les États-Unis ont finalement rejoint l'Organisation de coopération et de développement économique (OCDE). En effet, les américains en sont venus à l'évidence que leur pays était en faible croissance économique au niveau du pétrole.
L'agence américaine de l'Énergie (EIA) souligne que la demande de pétrole augmente, en moyenne, de 1.5 millions de barils par jour au cours de cette année. Les régions les plus croissantes au niveau du pétrole sont l'Asie et le Proche-Orient.
vendredi 19 mars 2010
Karzaï rend visite à Marjah
Par Andréa Lubeck
Le président Karzaï s’est rendu pour la première fois dans la région de Marjah où la vaste opération Mushtarak (Ensemble) se déroule présentement, et ce depuis près d’un mois. Sa visite a duré quelques heures, accompagné du chef des forces internationales en Afghanistan Stanley McChrystal. Il a promis à environ 300 chefs de tribus réunis dans une mosquée de la région de construire des écoles et des hôpitaux. “Êtes-vous avec moi ou contre moi?” leur a-t-il demandé, alors qu’il leur promettait la sécurité du pays. Les chefs de tribus ont levé leur mains en signe d’approbation.
Toutefois, la corruption des responsables mis en place avant que les talibans prennent le contrôle est source de plaintes des chefs de tribus, ainsi que l’emprisonnement d’innocents par l’OTAN et la transformation de maisons et d’écoles comme poste de combat. Karzaï s’en excuse toutefois et se désole de la souffrance qu’éprouvent les habitants de Marjah à cause des militaires afghan et étrangers.
La police afghane commence tout juste à prendre le contrôle des régions de Marjah et de Nad Ali, bien que les talibans sont toujours présents.
Les bombes artisanales que les talibans ont posées un peu partout dans la région causent la pertes de plusieurs civils afghans et leur rendent difficile l’accès à de la nourriture et aux médicaments, indique la Croix-Rouge.
L’opération Mushtarak, lancée le 13 février, porte son bilan de mort de militaire à 117.
mardi 16 mars 2010
Encore et toujours la violence
Pas plus tard que le 11 mars 2010, la guerre des cartels qui monopolise de plus en plus les territoires des frontières entre les États-Unis et du Mexique, a alourdi sont bilan de décès avec le décès de trois personnes liées au consulat des États-Unis. En deux jours, près que cinquante morts ont été victimes dans la ville la plus ravagée par le conflit de la drogue : Ciudad Juarez. Plusieurs citoyens américains ont souvent été victimes de cette guerre pour le contrôle de la drogue, mais la plupart avaient de la famille au Mexique. Ce qui fait la différence dans ce cas-ci c’est plutôt le fait que les victimes sont en travail pour les autorités américaines.
Bien que le président du Mexique n’est pas tardé à ce moment de faire une enquête rapide sur l’événement, la Maison-Blanche elle de son côté à fait savoir que Barack Obama était tout de même attristé de cette nouvelle. Obama a également poursuis en affirmant que les États-Unis ne cesseront pour autant la lutte contre la guerre des cartels et qu’ils travailleront sans relâche pour «traduire leurs meurtriers en justice».
Si l’on se fie à la bonne fois d’Obama, nous pourrions peut-être en espérer autant du mexicain Carlos Slim qui à son statu de milliardaire détrône tout récemment Bill Gates dans le monde économique. Ce magnat des télécommunications pourrait peut-être unir le pouvoir monétaire de son pays s’il se trouverait au même endroit où règne la violence des rues d’El Paso.
Associated Press
lundi 15 mars 2010
Le risque des missions internationales
L’actualité des deux derniers mois a été très marquée par le séisme en Haïti. Nous avons parlé des 200 000 morts, des sans-abris, de l’aide internationale et du plan de reconstruction. C’est une très bonne chose, puisque tout ça est loin d’être terminé et que les Haïtiens auront besoin de l’aide internationale pour longtemps encore. Par contre, ce dont nous avons moins parlé c’est des décès des 101 personnes de l’ONU présentes en Haïti avant le séisme.
La mission MINUSTAH de l’ONU pour la stabilisation en Haïti a été établie le 1er juin 2004 par le Conseil de Sécurité. Elle avait succédé à une Force multinationale également autorisée par le Conseil de Sécurité suite au départ du Président Aristide. Le mandat de la MINUSTAH est d’assurer un climat sûr et durable, à aider le gouvernement et à appuyer la politique en place.
Les membres des missions de l’ONU vivent parfois dans des climats difficiles. Ils vont travailler dans des pays en guerre, afin d’aider la population. De cette façon, on peut dire qu’ils ont parfois une tâche semblable à celle des militaires canadiens en Afghanistan. Ils doivent s’attendre à vivre une expérience peut-être dangereuse.
Par contre, cette fois-ci, ce fut une catastrophe naturelle qui a tué 101 membres de l’ONU. Michaëlle Jean, la gouverneure générale du Canada ainsi que Ban Ki-Moon, le secréraire général de l’ONU, se sont rendus sur place afin de rendre hommage aux victimes. Ban Ki-Moon a affirmé que ce fut la plus grande perte suite à un seul évènement par l’ONU.
dimanche 14 mars 2010
Violence ethno-religieuse au Nigeria
jeudi 11 mars 2010
C'est maintenant le tour du peuple Grec de parler
mardi 9 mars 2010
PARTICIPATION MASSIVE AUX LÉGISLATIVES
Par Stéphanie Matte
Le 12 février dernier, le chef de la branche d’Al-Qaïda en Irak, Abou Omar al-Baghdadi, avait promis d’empêcher la deuxième élection législative depuis la chute du régime de Saddam Hussein en 2003, dans le but de saper la crédibilité du gouvernement du premier ministre Nouri al-Maliki.
Malgré la mise en exécution des menaces des réseaux extrémistes, les irakiens se sont rendus aux urnes en grand nombre. En effet, la participation s’est élevée à 62%. Celle-ci, d’une grande majorité sunnite traduit un fait surprenant vu leur boycottage du précédent scrutin de 2005.
Sept ans après l’invasion, l’ampleur du vote sunnite confirmera si cette communauté, favorisée sous Saddam Hussein, est désormais partie prenante de l’Irak démocratique tant désiré par les américains.
L’Alliance nationale irakienne (ANI), principale coalition à prédominance chiite, faisait notamment opposition à l’État de droit (EDD), la formation de Nouri al-Maliki présentement en tête à Bagdad.
Chose certaine, la mise en place d’une coalition gouvernementale, qui avait pris cinq mois après les législatives de 2005, pourrait être encore plus longue.
Plus de 6200 candidats, dont 1801 femmes, sont en lice pour briguer 325 sièges. Aucun parti ni coalition ne pourra revendiquer la majorité de ces sièges au Parlement. Si les pourparlers trainent en longueur, l’instabilité risque de refaire surface au profit de courants plus radicaux.
Les résultats seront compilés d’ici le 18 mars prochain.
Il est temps pour l'ONU d'agir.
Quelques jours plus tôt dans cette même semaine,soit mardi le 2 mars. Viviane Reding la vice-présidente de la Commission européenne chargée de la justice et de l’égalité des sexes, a reproché à l’ONU de trop parler et de ne pas agir dans le dossier des femmes.
En effet, depuis septembre, l’Assemblée générale des Nations unies ont accepté la création d’un nouveau département. Celui-ci, se verra attribué de grands pouvoir pour traiter des questions déjà existantes auprès de plusieurs organes concernant les femmes.
Cependant, malgré la promesse de l’ONU à nommer une personnalité d’envergure à la tête de ce nouveau partie chargée des femmes, rien n’a encore changé. Viviane Reding espère que son appel à l’ONU d’agir dans le dossier des femmes sera entendu et réglé dès maintenant. Tout le travail préparatoire à ce dossier a été fait et Madame Reding s’attend à ce que plusieurs femmes de tous les continents affirment, elles aussi, qu’elles sont tannées d’entendre parler de cela.
lundi 8 mars 2010
La Chine prend un tournant pacifique
dimanche 7 mars 2010
L'après séisme
Un séisme peut parfois durer quelques secondes, mais ces prétendues quelques secondes
suffisent pour mettre en misère un pays entier qui prendra plusieurs jours voire plusieurs semaines à se reconstruire et surtout se restructurer.
Après quatre jours depuis le séisme au Chili, l’aide humanitaire parvient enfin en aide à la population. Ce sont ces quelques 14 000 soldats, qui ont pour mandat d’assurer la sécurité auprès de la population, qui distribuent couvertures, nourriture, médicaments et eau potable. Bien sûr, ces besoins doivent être comblés, mais les soldats y sont principalement pour ramener et maintenir l’ordre parce que depuis le séisme l’armée a perdu le contrôle. Ce faisant, les délinquants ont les portes grandes ouvertes pour pratiquer pillages et vols à leur guise. Ils ont même instaurés des couvre-feux afin de limiter les dégâts dans les villes de Talca, Cauquenes, Constitución et Conceptión. Les gens ont tellement peur qu’ils se regroupent munis d’armes pour protéger leurs biens et se barricadent du mieux qu’ils le peuvent. On parle aussi de groupe d’autodéfense. Même que, le maire Marcelo Rivera a déclaré que les Chiliens avaient moins peur du tremblement de terre que des criminels.
Environ 5000 logements de secours ont été distribués pendant que la présidente Bachelet fait un appel d’aide à l’international. Le Canada dit qu’il versera jusqu’à deux millions de dollars ayant pour mandat de répondre aux besoins d’urgence des sinistrés. Michelle Bachelet a fait face à plusieurs critiques lui reprochant d’avoir tardé à agir et à avoir mesuré l’impact du tremblement de terre afin d’organiser l’aide nécessaire. Invraisemblablement, le Chili prendra de trois à quatre années pour se reconstruire avec l’aide de prêts internationaux.
Après tout cela, le malheur frappe encore…
Pas une, ni deux, mais trois fois. Trois nouvelles secousses de 6,2, de 6,6 et de 6,0 respectivement, en l’espace de seulement deux heures ont ébranlé le Chili. L’ONU leur viendra en aide avec une somme de 10 millions de dollars via un transfert de son Fonds de réponse d’urgence aux catastrophes. Veuillez noter qu’un concert-bénéfice se tiendra à Montréal le 10 mars pour aider le Chili à s’en sortir.
Anylise Pagé
«Mesures d'urgence pour faire face à la crise financière»
Dans l'objectif visant à réduire le bénificit budgétaire, le premier ministre concevoit nulle autre solution que de couper le budget de la Grèce. Monsieur Papandréou tient à économiser 4,8 milliards d'euros au courant de la prochaine année. Il a donc appelé les Grecs à faire les sacrifices nécessaires pour surmonter la crise. Le projet de loi « Mesure d'urgence pour faire face à la crise financière» comprend en partie; des coupes salariales pour les fonctionnaires, le gel des fonds de retraite du secteurs privé ainsi qu'une hausse des deux points de TVA à 21%.
Ces nouvelles mesures font le mécontentement de plusieurs grecs qui sont venu manifester leur leur désaccord devant le parlement d'Athènes suite à la décision. Par ailleurs, la bonne nouvelle c'est que face à la décision d'instaurer des mesures d'austérités, l'UE promet maintenant d`être solidaire à la Grèce.
UNE RELATION SUR LA CORDE RAIDE ET DE NOUVELLES MÉTHODES EFFICACES
En effet, les relations indo-pakistanaises connaissent plusieurs hauts et bas ces derniers temps suites à l’attentat qui a tuée seize personnes, mais ceux-ci se sont mis d’accord sur le fait qu’ils ne laisseront pas dérailler leur nouvelle tentative de dialogue.
Par contre, le Pakistan est reconnu comme étant contrôlé par les forces terroristes (moudjahidines). L’Inde tente de venir en aide au Pakistan afin qu’ils puissent trouver un terrain d’entente pour le Cachemire et irradié le terrorisme de plus en plus présent. Le Cachemire est au centre de leurs disputes depuis la première des trois guerres, il y a plus de 60ans.
La stratégie irakienne imitée en Afghanistan.
Le succès de l’expérience américaine en Irak a beaucoup influencé la nouvelle tactique de contre-insurrection en Afghanistan. Effectivement, cette opération, qui a réussi à faire diminuer la violence de 90%, vise non pas à chasser les terroristes, mais à s’occuper des citoyens dans le besoin. Plus précisément, les militaires sont envoyés en peloton avec une vingtaine de soldats afghans dans des petits villages dispersés dans la province, Kandahar.
De nouvelles méthodes pour prévenir les troubles psychologiques des soldats.
Plus de 1600 soldats ayant servis en Afghanistan reviennent avec des troubles psychologiques. Ce nombre correspond à 13% des soldats envoyés en Afghanistan depuis 2006. Un nouveau plan a été présenté afin de diminuer le stress encouru durant ses missions. La première étape étant de faire voir le chaos en Haïti, mais tout en ayant le choix de rester ou non sur le bateau. Donner le choix et ne rien imposer, aide psychologiquement selon le lieutenant-colonel Rakesh Jetly (aussi psychiatre).En 10ans, le nombre de psychologues à augmenter de 130.
Alexandra Potvin
Justice ou opportunisme?
Suite à un mandat d'arrêt international émit par le Rwanda, Agathe Habyarimana, la veuve de l’ex-président du Rwanda, a été arrêtée mardi dernier en banlieue parisienne, pour son implication dans le génocide de 1994. On peut aisément faire le lien entre la visite de réconciliation de Nicolas Sarkozy à Kigali quelques jours auparavant. La France voulant montrer sa bonne volonté et son intérêt à vouloir défendre la justice dans ce pays ayant perdu 800,000 personnes en avril 1994. Cependant, Mme Habyarimana s’est vu remise en liberté et placée sous contrôle judiciaire.
C’est par un mandat d’arrêt international qu’en 2004 Kigali avait demandé l’extradition d’Agathe Habyarimana. Étant dans une relation diplomatique rompue depuis 3 ans, on peut voir clairement que la France veut rétablir des bonnes relations diplomatiques avec le Rwanda. Le président de la République, M. Sarkozy affirme vouloir trouver les responsables du génocide pour les punir. De plus, la France a refusée l’asile politique à certaines personnes concercées en plus d’engager une procédure judiciaire.
En fait, Mme Habryarimana est présentée comme étant membre de l’ Akazu (premier cercle du pouvoir qui a déclenché le génocide), ce qu’elle nie. Dès les premiers jours du génocide, la veuve de l’ex président Rwandé a été évacuée par des militaires francais vers la France. En 2004, quand le Rwanda a voulu poursuivre Mme Habryarimana, celle-ci a demandé le droit d’asile qu’elle s’est vu refuser en 2007.
Donc, la France se dit fière de son arrestation, 3 ans après l’émission du mandat d’arrêt international, et affirme qu’elle ne restera pas impunie. Pour certains, ce geste de la France est un réel acte de justice mais d’autres n’y voyent qu’un simple acte opportuniste afin de rétablir une bonne relation avec le Rwanda.
Jérémy Bonventre
La santé des américains devient une priorité pour le président.
Malgré que quelques idées du parti républicain soient incorporées au plan de M. Obama, le parti n’est pas en faveur de la démarche prise par ce-dernier. Selon eux, le projet de loi de 2700 pages devrait être recommencé à zéro. « Il faut procéder étape par étape. » à déclaré Mitch McConnell, le chef de la minorité républicaine.
Malgré ces désaccords sur le sujet, les démocrates se préparent quand même à faire passer un texte final au Sénat, avec ou sans l’appui de l’opposition républicaine. Ils utiliseront un processus « de réconciliation » qui requiert un vote à la majorité simple à la place de la majorité qualifié traditionnelle de 60 voix nécessaire sur 100.
Parmi les idées républicaines, celles qui sont mises de l’avant dans le plan de santé du président sont celles qui visent à combattre la fraude faite à l’assurance santé et celles qui visent à augmenter les remboursements aux médecins qui travaillent pour les plus démunis. Selon monsieur Obama, « Les approches républicaines et démocrates sur la santé ont plus en commun que ce que les gens pensent ».
mardi 2 mars 2010
L'union Européenne impuissante?
L'Art de persister
Assasinat d'un cadre du Hamas
Par Misha Estève
Un évènement majeur extrémiste à eu lieu à Dubaï cet semaine. Mahmoud al Mabhoud, un cadre du Hamas, a été assassiné par un groupe de hors-la-loi. 2 suspects palestiniens ont été arrêté pour l'assassinat du cadre. Ils s'étaient enfuit en Jordanie. Par la suite, nous avons pû savoir que les deux meurtriers faisaient aussi parti du comando voleurs de passeports européens. Plus tard au cours de la semaine nous avons sû que 11 porteurs de passeport étaient impliqué dans l'assassinat de Mabhoud que ce soit de loin ou de proche. Au courant de la semaine l'UE à condamné, dans une déclaration appuyé par ses états membres, l'assassinat d'un activiste palestinien à Dubaï et l'emploi de faux passeports. La police des Émirats Arabe Unis ont un doute sur les réels assassins du cadre du Hamas Mahmoud al Mabhoud et pencherait plutôt vers les agents des services secrets israélien (Mossad) comme tueur. En date d'aujourd'hui, nous savons que le commando responsable du meurtre de Mabhoud s'élèverait à 15 personnes qui auraient utilisés des passeports européens mais une vingtaine de personnes seraient lié au meurtre. Les deux palestiniens suspecté depuis le tout début de l'histoire sont détenue à Dubaï. Nous attendons au courant de la semaine plus d'informations qui permettrait à la population de mieux dimestifier cet affaire qui est assez mystérieuse!
Attaque à Mossoul
par Gabrielle Richer
Situé à seulement 390 km au nord de Bagdag, la ville de Mossoul a été la cible
d'attentat.Cette série de meurtre sanglant a été dirigé vers la communauté chrétienne. Plus ou moins huit chrétiens ont été tué durant ces deux semaines d'attaque. Deux des victimes avaient été porté disparu toutefois, leur corps a été retrouvé sans vie dans la rue. D'autres ont été abattu devant leur maison et leur lieu de travail.
Hier, 1 mars 2010, des milliers de chrétiens ont défilés dans les rues de Mossoul et de Bagdag afin de demander au gouvernement irakien d'agir suite à une série de meurtre dirigé vers leur communauté. Ils se sont rassemblé afin d'exiger que les forces de sécurité protège la communauté chrétienne.
Le pape Benoit XVI a pris parole hier et a demandé que les minorités religieuse les plus vulnérable bénéficient d'une plus grande protection afin qu'un cas comme celui-çi ne se reproduit plus. De plus, il n'a pas oublié de mentionner sa déception et sa peine quant à la perte de ses fidèles chrétiens situé en Irak.
Étrangement, cette série de meurtre intervient une semaine avant les élections législative qui auront lieu le 7 mars prochain. De plus, Al-Quaïda prévoit utiliser «des moyens milliaires» pour le scrutin national. Al-Quaïda a mentionné haut et fort qu'il considère ce scrutin comme une farce puisque les chiites vont dominer sur les sunnites.
lundi 1 mars 2010
Encore des ravages en Amérique Latine
Samedi, 27 février 2010, l’Amérique Latine se fait à nouveau secouer par un séisme. Cette fois-ci, c’est le Chili qui en est ravagé. Avec une magnitude de 8.8, le centre et le sud du pays ont été touché en faisant plus de 700 morts, près de deux millions de victimes et un nombre indéfini de personnes sont toujours portées disparues. Autour de 500 000 bâtiments ont été atteints, dont un de quatorze étages qui emprisonnait environ cent individus à Conception, la ville la plus touchée. Le séisme a également provoqué des tsunamis dont un de près de six mètres qui a envahi les villes balnéaires de la côte comme Talcahuano, Penco et Dichato.
Le montant des dégâts s’élèverait entre 15 et 30 milliards de dollars. Contrairement à l’Haïti, le Chili s’en est beaucoup mieux tiré. Rappelons que le séisme qui a ébranlé cet autre pays avait une magnitude de 7 et a provoqué plus de 220 000 morts. Le Chili est un pays plus amplement riche et il était mieux préparé à affronter ce genre d’événements puisque qu’il se retrouve dans les régions les plus touchées par un séisme. Les structures des bâtiments étaient construites à partir d’acier et de normes antisismiques au contraire de celles en béton d’Haïti. De plus, les tremblements ont commencé à 34 km de profondeur dans le Pacifique, en Haïti, ils étaient à 13 km de la surface.
Par ailleurs en Haïti, les soldats canadiens se retirent progressivement et se concentreront à présent sur la reconstruction à long terme du pays. Harper a décidé de représenté lui-même la reconstruction et de ne pas imiter le Brésil et les États-Unis.
Nouvelle offensive de l'OTAN dirigée par le Canada.
Pour la protection des civils, des tracs et des annonces seront faites à la radio pour mettre la population au courant des zones de combat qui seront à éviter, comme cela fut le cas lors de l'offensive menée à Helmand. Malgré le fait que cela avait permis aux talibans de se préparer et de ralentir les troupes de l'OTAN et de causer de nombreux dommages, mais selon le brigardier-général et dirigeant des forces canadiennes ainsi qu'une partie des troupes américaines en Afghanistan, Daniel Ménard, «il faut minimiser les blessures et les pertes chez les civils». Déjà les forces canadiennes ont pu sécuriser, au cours des derniers mois, un périmètre autour de Kandahar. De plus, au cours de ces mois l,armée a pu gagner la confiance de nombreux Afghans ce qui est un atout dans une démarche pour la diminution des tensions autour de la ville. Ce qui, selon l'OTAN, était loin d'être le cas il y a de ça à peine un ans.
Cette nouvelle offensive à Kandahar devrait débuter en même temps que la «saison des ombats» qui se passe normalement au printemps. Donc, cette offensive à Kandahar coïncidera avec une augementation des activités des talibans(qui sont de retour du Pakistan). Surtout dans la ville de Kandahar puisque comme le rappelle M.Ménard, «La ville de Kandahar est un endroit stratégique, autant pour les insurgés». Bref, les prochaines semaines seront très imporatante dans l'organisation de cette nouvelle mission.