Compte tenu des récents évènements qui se sont produit à Moscou, plus précisément le 29 mars 2010, on comprend que la guerre au terrorisme est encore une fois, un sujet brulant de l'actualité.
Hier, un double attentat suicide commis par des femmes à fait d'énorme ravage dans le métro moscovite, mais aussi dans la réputation et la crédibilité de Poutine. Faisant jusqu'ici 38 morts et 60 blessés, l'attentat est considéré comme moins grave (41 morts et 250 blessés) que celui qui avait frappé le même métro 6 ans auparavant, c'est-à-dire en février 2004.
Le plus étonnant, c'est l'endroit pour lequel ces femmes explosives ont dirigées leur cible; le siège du KGB, aussi appelé le FBS était mit le l'avant. On accusent les deux femmes de faire parties de l'organisation Caucasienne, comme si nous avions absolument besoin d'un coupable. De plus, pour mettre le feu au poudre, et attiser les accusations, Doukou Oumarov, le chef de la principale organisation Caucasienne à affirmé qu'il était de plus en plus question d'un Émirat islamiste, chose qui est refusée catégoriquement par la Russie, on accuse aussi l'homme de copiner avec l'Afghanistan ainsi que le Pakistan, serait-il question directement de terrorisme?
Bien entendu, l'ONU et les grands pays du monde ont protestés contre l'évènement, en condamnant le geste de répréhensible. Les États-Unis, plus précisément Hillary Clinton, prétendent que toutes les organisations terroristes communiquent les unes avec les autres, afin de s'informer ou de s'entraider à vouloir détruire le monde? Jugement un peu poussé de Madame Clinton.
... le dossier reste à suivre, à savoir qui sont les vrais terroristes?
MARIE-EVE BRAULT PELLETIER
Alors que Dmitri Medvedev, le président russe, affirme qu’il est près à tout pour retrouver les coupables des attentats, même à la force. Dokou Oumarow (aussi appelé Abou Oussman), chef du groupe rebelle islamiste « Émirat du Caucase » prétend que les attentats qui ont eu lieu dans le métro de Moscou, lundi, serait un « acte de vengeance ». Selon lui, l’attaque était en réponse au 11 février dernier ou « des habitants tchétchènes et ingouches ont été exécutés par les forces russes près du village d’Archy » pendant une opération prise en charge par les services spéciaux russes, les forces spéciales du FSB. Dokou Oumarov a clairement affirmé, dans un vide, qu’il avait donné « personnellement l’ordre de commettre les attentats de Moscou. » La même journée que cette revendication de la part du chef de l’« Émirat du Caucase », deux attentats font 12 morts au Daguestan. Il s’agit d’une autre république instable du Caucase. De son coté, le premier ministre Vladimir Poutine estime qu’un seul groupe est responsable pour les attentats qui ont touchés les deux républiques. Il ne reste plus qu’à trouver le véritable couple.
RépondreSupprimerUne des deux femmes kamikazes se nommait Djennet Abdourakhmanova, une jeune femme de 17 ans veuve depuis déjà 3 mois d'un autre kamikaze du nom de Oumalat Magomedov. «Il a été établi à quasiment 100% que c'est bien elle qui a commis l'acte terroriste», a indiqué, vendredi 2 avril 2010, à l'agence Interfax une source des forces de l'ordre au Daguestan, région pauvre et reculée du Caucase du Nord, dont la jeune fille était originaire. L'identité de la jeune femme a pu être établi, car après avoir actionné sa ceinture explosive, seul le crâne de la jeune fille est resté intacte, ce qui a permis de l'identifié rapidement.
RépondreSupprimerLes femmes kamikazes, souvent surnommées «veuve noire», sont l'arme privilégié de la rébellion islamiste du Caucase du Nord. Le groupe terroriste du nom de wahhabites vont souvent recruter de jeunes filles sur le net et leurs remplies la tête d'idéologie islamiste.
L'autre kamikaze n'a pas encore été formellement identifiée. On croit qu'il pourrait s'agir d'une femme originaire de Tchétchénie, Markha Oustarkhanova, 20 ans, qui serait elle aussi une veuve noire. Toutes les deux étant arrivées le matin de bonne heure par autobus auraient ensuite prit le métro pour faire exploser leurs bombes et tuant ainsi près de quarante personnes.