mardi 9 mars 2010

Il est temps pour l'ONU d'agir.

Lundi le 8 mars était non seulement la journée de la femme, mais également la 10e édition de la marche pour les femmes qui a pris son envol dans le centre-ville de Montréal. En autres dans les revendications, on retrouve la marchandisation du corps des femmes et la lutte contre l’hypersexualisation.

Quelques jours plus tôt dans cette même semaine,soit mardi le 2 mars. Viviane Reding la vice-présidente de la Commission européenne chargée de la justice et de l’égalité des sexes, a reproché à l’ONU de trop parler et de ne pas agir dans le dossier des femmes.

En effet, depuis septembre, l’Assemblée générale des Nations unies ont accepté la création d’un nouveau département. Celui-ci, se verra attribué de grands pouvoir pour traiter des questions déjà existantes auprès de plusieurs organes concernant les femmes.

Cependant, malgré la promesse de l’ONU à nommer une personnalité d’envergure à la tête de ce nouveau partie chargée des femmes, rien n’a encore changé. Viviane Reding espère que son appel à l’ONU d’agir dans le dossier des femmes sera entendu et réglé dès maintenant. Tout le travail préparatoire à ce dossier a été fait et Madame Reding s’attend à ce que plusieurs femmes de tous les continents affirment, elles aussi, qu’elles sont tannées d’entendre parler de cela.

1 commentaire:

  1. Notons que la cause des femmes, bien qu'elle ai évoluée depuis quelques années, est toujours aussi méprisé et ce dans plusieurs parties du globe. Une organisation telle l'ONU aurait du, depuis longtemps, faire quelque chose de plus concret pour améliorer la situation. En 2009, les crimes visant des femmes dépasse les 5000. C'est à suivre.

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