Cette semaine, en Thaïlande, le face à face entre les «chemises rouges» et les militaires se poursuit et ne semble pas prêt de se terminer. En effet, dans la capitale de la Thaïlande, soit Bangkok, il n’y a qu’une simple clôture faite de bambous qui sépare les militaires armé de grenades et de fusils des «chemises rouges» qui eux, ne possèdent absolument rien pour se battre. Certains habitants sont aussi descendus dans les rues afin de supporter les militaires en hurlant des injures aux «chemises rouges» leur disant que leur chef Thaksin Shinawatra tente de leur enlever leur démocratie afin de devenir président du pays et de contrôler celui-ci.
Le gouvernement thaïlandais semble tout à fait d’accord avec l’opinion du peuple et a procédé à l’accusation de cet ancien premier ministre en exil pour avoir été le leader du mouvement des «chemises rouges». Bref, celui-ci est présentement considéré comme étant un terroriste et c’est pour cette raison qu’il devrait être tenu coupable pour ses actes inacceptables.
Cette semaine, l’ex-président du Kirghizistan, Kourmanbek Bakiev, a décidé de quitté son pays après avoir été retiré du pouvoir gagné par l’opposition. En effet, Bakiev se trouve maintenant dans le sud du Kazakhstan ayant laissé certains membres de sa famille au Kirghizistan, car ceux-ci sont accusés de corruption par le gouvernement intérimaire. Il aurait donc demandé au président du sud du Kazakhstan, Noursoultan Nazarbaev, d’être complètement libéré de ses fonctions. Cependant, la décision de Nazarbaev n’a pas encore été dévoilée, donc le dossier Bakiev reste à suivre…
Le gouvernement thaïlandais semble tout à fait d’accord avec l’opinion du peuple et a procédé à l’accusation de cet ancien premier ministre en exil pour avoir été le leader du mouvement des «chemises rouges». Bref, celui-ci est présentement considéré comme étant un terroriste et c’est pour cette raison qu’il devrait être tenu coupable pour ses actes inacceptables.
Le président du Kirghizistan démissionne?
Cette semaine, l’ex-président du Kirghizistan, Kourmanbek Bakiev, a décidé de quitté son pays après avoir été retiré du pouvoir gagné par l’opposition. En effet, Bakiev se trouve maintenant dans le sud du Kazakhstan ayant laissé certains membres de sa famille au Kirghizistan, car ceux-ci sont accusés de corruption par le gouvernement intérimaire. Il aurait donc demandé au président du sud du Kazakhstan, Noursoultan Nazarbaev, d’être complètement libéré de ses fonctions. Cependant, la décision de Nazarbaev n’a pas encore été dévoilée, donc le dossier Bakiev reste à suivre…
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RépondreSupprimerDepuis bientôt six semaines, des milliers de <> se rassemblent pour exiger des élections anticipées à Bangkok. L'opposition thaïlandaise a offert hier un compromis au gouvernement, proposant une dissolution du parlement leur laissant un délai de trente jours tandis qu’avant la dissolution était réclamé sur le champ. Cependant, le premier ministre Abhisit Vejjajiva a rejeté l'offre des manifestants antigouvernementaux qui eux, étaient prêts à échanger sur le sujet. Il dit rejeter cette offre parce qu’ils (chemises rouges) font usage de violence et d’intimidation. Il mentionne aussi que ce n’est pas le délai de 30 jours qui dérange, mais plutôt quelle soit pour l’intérêt des chemises rouges seulement. Pour agir, il faut que le pays entier arrive à un consensus.
RépondreSupprimerIl leur faudra bien trouver un moyen pour qu’ils cohabitent ensemble. Des divergences d’opinions, il y en a dans chaque pays et surtout sur le plan politique, mais ça ne veut pas dire qu’on doit s’entretuer pour ces différences aujourd’hui en 2010…
des milliers de ''chemises rouges'' *
RépondreSupprimerPremièrement, je crois qu'il est très important de comprendre que les chemises rouges ne manifestent pas seulement pour une histoire de politique et de démocratie, leur combat est en fait beaucoup plus profond que ca. Les chemises rouges représentent la population civile qui vient des terres plus éloignées de Bangkok, donc les moins fortunés. Ils manifestent, d'abord et avant tout parce qu'ils veulent avoir une voie et ils voudraient pouvoir prendre des décisions dans le pays, au même titre que les habitants de la capital. Normalement en Thaïlande, les riches de Bangkok contrôle absolument tout par la capital et les campagnards, que représentent les chemises rouges, n'ont absolument rien à dire. De plus, les gens plus fortunés qui habitent à Bangkok ont beaucoup de privilèges face aux paysans. C'est donc contre ces injustices que les chemises rouges se révoltent en aussi grand nombre ces derniers temps.
RépondreSupprimerEnfin! Après plus de six semaines de discordes le roi de la Thaïlande s'est prononcé sur la situation. Il est important de savoir que le monarque de ce pays a un rôle plus symbolique que politique, par contre la population accorde beaucoup de crédibilité à ces paroles. C'est sur la demande des "chemises jeunes" qui sont pro-gouvernemental donc contre les "chemises rouges" que le roi s'est prononcé sur ces événements. Son discours a été décevant pour le peuple, car il n'a pas énoncé les problèmes politiques qui brusque le pays entier. Les "chemises jeunes" ont répliquées avec le fait qu'ils vont "régler" la situation eux-mêmes si personne ne vient sauver le centre-ville qui est présentement assiégé par les "chemises rouges". La situation de la Thaïlande est critique, les choses devraient bouger d'ici deux semaines mais nous devons espérer pour le mieux, car les deux partis ne sont pas prêts à baisser les bras.
RépondreSupprimerPour être résidente d'un pays démocratie où tous les hommes sont égaux et ont le droit aux mêmes services qu'importe leur situation financière et l'endroit où ils résident, je trouve celà abérant dans constater à quel point la planète est divisé en deux monde. Personnellement, j'appuie grandement le courage des chemises rouges qui se battent pour être "reconnu" dans leur propre pays et obtenir de l'aide financière pour survivre. Ils n'est même plus question de vivre, mais bien de survivre.
RépondreSupprimerEn espérant que le gouvernement n'ordonnera pas à son armée de "rentrer dans le tas" pour faire le ménage.
Ça bouge en Thaïlande! Depuis plus d'un mois, les chemises rouges revendiquent leurs droits en plein milieu de la capitale. Le gouvernement les laissait faire, parce qu'il croyait qu'ils allaient finir par lâcher prise. Cependant, ce groupe de thaïlandais est plus coriace qu'il ne le pensait. Ils ne sont pas armé pour se battre mais ils essaient du mieux qu'ils le peuvent pour avoir ce qu’ils veulent. L’on constate la détermination des protestants, parce que pendant qu’ils font cela, ils ne peuvent pas travailler. De même que, en protestant dans cette ville, là où les grands commerces sont situés, cela n’aide certainement pas à l’économie de leurs pays. Ceux qui possèdent les grands commerces sont ceux qui ont de l’argent et qui n’on pas besoin de protester, tandis que ceux qui proteste ont beaucoup moins à perdre parce qu’ils font partie de la basse société. Espérons que ce combat entre citoyens défavorisés et un gouvernement très en moyen ne tournera pas en bain de sang et qu’ils puissent trouver un terrain d’entente.
RépondreSupprimerAlors que la démocracie s'installait en Thailande, voici que le gouvernement qui savait plaire au peuple se fait considérer comme terroriste. Bien sur, c'est au détriment des plus démunis. Les chemises rouges ont tout a fait le droit de manifester comme ils le font puisque c'est leur devoir, qu'ils accomplissent avec une détermination remarquable. Pour tout cela, j'appuie entierement les chemises rouges dans leur quete de la démocratie et je souhaite que tout change pour le mieux, que le gouvernement présent remplisse son devoir, celui de servir le peuple.
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