5 au 11 avril 2010
Jessica guerette
Encore cette semaine, la Grèce n'a toujours pas réglé sa dette mais pourtant elle s'entête à refuser le plan d'aide proposé par les Européens il y a maintenant plus de quinze jours. Des analystes de la banque allemande Commerzbank on estimé de leur côté que puisque la prime de risque augmente, il est de plus en plus possible que les autres pays de la zone euro doivent prêter main forte à la grèce. Le déficit public de la Grèce a baissé de 40% en 2010. Un peu plus tôt cette semaine, les incertitudes de la Grèce sur sa capacité de régler son énorme dette ont de nouveau semé la panique sur les marchés financiers. De plus, la rumeur d'une révision du plan de sauvetage ébranle encore plus les marchés. Ce plan d'aide qui est très attendu par la communauté financière, est supposé permettre à la Grèce de pouvoir emprunter en dernier recourt auprès des autres pays européens et du FMI (fonds monétaire international) . Cette rumeur aurait par contre été démentie par M.Paraconstantinou. La Grèce aura besoin en tout d'un montant de 54 milliards d'euro dont 20 milliards d'ici la fin mai pour rembourser sa dette publique qui s'éleve à 300 milliards d'euro. Une équipe du FMI est débarqué à Athènes il y a quelques jours pour aider le pays à mieux gérer leur finance et leur budget.
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Lundi le 12 avril 2010, les Fonds monétaires international ont finalement mise sur pied un plan concret d'aide pour la Grèce. Tout est prêt, le FMI attend seulement que le ministre de la Grèce, M. Georges Papandréou, active se plan d'action. Mais celui-ci refuse pour le moment l'aide de la zone euro en disant que le pays sera bien capable tout seul de se sortir de son déficit. Le FMI a voulu créer le plan d'action d'aide à la Grèce surtout pour calmer les marchés financiers qui craignaient les oui-dires d'un plan d'action qui n'était pas créer.
RépondreSupprimerMaintenant, il reste à voir si le premier ministre M. Papandréou va réussir seul à sortir la Grèce de son pétrin ou finalement il demandera l'aide de la zone euro.
Krysthel Moore
Le chef de file des ministres des finances, M. Juncker, se dit satisfait de la tournure des événements suite à l'acceptation des marchés au plan d'aide mis à la disposition de la Grèce. De plus, l'annonce du nouveau plan a provoqué dès le lendemain la chute des coûts où Athènes devait emprunter dans les marchés obligataires(1)ainsi qu'un rebond de l'euro. Il va cependant de soi que l'État reste tout de même sur c'est garde vis-à-vis des perspectives de financement concernant la Grèce. Par contre, il faudra attendre encore quelques jours pour avoir la confirmation des marchés se qui empêchera le déclenchement du mécanisme d'aide d'Athènes. Si la Grèce active le plan d'aide alors l'emprunt des marchés s'élèvera à 30milliards avec un taux de 5% d'intérêts.
RépondreSupprimer1: Définition wikipédia:Le marché obligataire est la partie à moyen et long terme du marché des taux d'intérêt, plus grand marché de capitaux du monde.
On dirait que depuis le début de l'officialisation public des problèmes de la Grèce, celle-ci essaye en quelque sorte de fuire la sollution qui pourrait sembler évidente, avec raison ? Simplement question d'orgueil, ça reste encore à prouver. Malheureusement, en raison de l'entêtement du gouvernement qui refuse d'accepter l'aide du FMI, toute la population grecque se retrouve en déficite, tout ça à cause d'un coup d'orgueil... qui sait?
RépondreSupprimerMarie-Eve Brault Pelletier