Semaine du 12 au 18
Dans le sud de l’Islande, un volcan a fait éruption tôt dans la matinée du 14 avril. L’Eyjafjallajökull est un volcan situé sous un glacier et il s’est réveillé pour la deuxième fois ce moi si. Cette éruption émet des nuages de cendres qui se promène jusqu’en Grande-Bretagne et au Danemark. Plusieurs compagnies aériennes ont dû interrompre les vols parce que les réacteurs des appareils ne supporteraient pas les cendre, plutôt qu’à un manque de visibilité. S’il arrivait quelque chose aux réacteurs, il y aurait un risque d’extinction du carburant ce qui occasionnerait l’arrêt du moteur. L'International Air Transport Association (IATA) estime à 200 millions de dollars US par jour les revenus perdus à cause de la fermeture d’espaces aériens européens due au nuage de cendres volcanique. Le chef des opérations à Eurocontrol, estime à 15 000 le nombre de vols qui risquent d'être annulés dans la région. Les compagnies aériennes pourraient perdre jusqu’à un milliard de dollars si les aéroports européens demeurent fermés cette fin de semaine. Bref, espérons que le volcan va se calmer d’ici peu pour que les vols puissent reprendre normalement.
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C'est totalement ahurissant ce qui se passe avec ce volcan! Avant, on ne connaissait pas les effets des cendres volcaniques sur les avions, mais un incident s'est produit il y a quelques années lorsque un vol du British Airways a plané à travers un nuage de cendres qui semblait être un nuage normal, provenant du volcan Galunggung en Indonésie. À cause de la fonte des sédiements de verre et de roches contenus dans la cendre lorsqu'il sont passé dans le moteur, cela à formé des dépots de roche, arrêtant les quatres moteurs! Aumoins, l'avion à réussi à planer et atterir sans trop de dégâts... Grâce à cette mésaventure, on a sûrement éviter plusieurs accidents aériens cette fois-ci en gardant les avions cloués au sol! Selon les experts, Eyjafjallajökull est totalement imprédictible et donc, impossible de savoir lorsque l'éruption cessera. Cela peut aller de 3 semaines à 3 mois, comme à un année complète ou plus! De plus, c'est la majorité des pays du nord de l'Europe qui sont paralysés, ce jusqu'à la Pologne. Malheureusement pour le pays en deuil national, le nuage de cendre à empêcher certains invités de se rendre au funérailles du couple présidentiel polonais. Toutefois, ce matin, certains vols on repris en France. Mais c'est l'enfer pour les touristes de partout dans le monde, ne pouvant rentrer chez eux.
RépondreSupprimerDepuis l’éruption de l’Eyjafjallajökull, les compagnies aériennes n’ont cessé de perdre de l’argent et elles s’impatientent de plus en plus. En début de semaine, le secteur aérien à ouvertement affirmé qu’il trouvait les restrictions de vols excessives. De plus, certaines compagnies ont effectué des tests de vols sans passagers, malgré les avertissements. Heureusement, aujourd’hui on annonce le retour progressif et contrôlé du trafic aérien. Le retour complet à la normal est prévu pour jeudi. Bref, enfin une bonne nouvelle pour des centaines de voyageurs et bien sûr, pour les compagnies aériennes qui peuvent maintenant souffler un peu.
RépondreSupprimerQui l’aurait cru? Les cendres du fameux volcan islandais (je n’ose écrire son nom) se sont rendues jusqu’à Gaspé! Comme quoi le monde est petit!
RépondreSupprimerLes autorités et compagnies aériennes d’Europe ne sont toutefois peut-être pas au bout de leur peine : l’éruption du volcan Eyjafjöll (j’ai osé) pourrait causer l’éruption de son voisin : Katla. En effet, ce dernier entre en éruption tous les 80 ans (sa dernière activité volcanique importante fut en 1918). De plus, à chaque fois qu’Eyjafjöll s’est réveillé, il a été suivi par Katla, qui a une puissance environ 10 fois plus élevée que le premier.
Il se pourrait donc que le trafic aérien ne soit pas au bout de ses peines!
Notre cher volcan c'est rendu célèbre par l'arrêt de plus de 100 000 vols et les dettes s'élèveraient maintenant à plus de 1.7 milliard de dollars. Les autorités affirment que cette catastrophe naturelle serait plus importante que l'attentat du 11 septembre puisque les aéroports ont bloqués les vols durant seulement 3 jours comparativement au double pour le volcan. Tout comme les américains les compagnies aériennes souhaitent avoir une compensation du gouvernement. Il va de soi que le gouvernement a eu quelques déficiences au niveau de sa réaction qui fut très lente. De plus, environ 5% de la richesse de l'Europe va à l'industrie touristique et plusieurs redoutent les retombés engendré par le volcan.
RépondreSupprimerC'est fou de réaliser à quel point les technologies humaines, qui ont révolutionner les nouvelles sociétés, sont aussi vulnérable aux phénomènes naturelles de la Terre. Ça démontre une fois de plus que la puissance de l'Homme n'est rien si on l'a compare à celle de la Nature. C'est tout de même absurde de constater qu'un volcan, un simple volcan, paralyse ainsi des dizaines de pays et tout le trafic aérien qu'ils déservent.
RépondreSupprimerHeureusement pour les compagnies aériennes affectées, les vols on pu reprendre graduellement au cours de la semaine. Cependant, il y a eu énormément de pertes d'argents causé par cette éruption volcanique. Sommes tous, les compagnies devraient rentrée dans leur argent avec les vols supplémentaires qu'ils ont ou qu'ils comptent ajouter aux fils des prochaines semaines.
Encore une fois, la Nature prouvera à l'Homme qu'il ne sera jamais le plus fort sur la Terre.
Selon les dernières nouvelles, le rapatriement des centaines de voyageurs qui sont toujours immobilisés commence cette semaine. Pourtant, plusieurs d'entre eux devront se procurer de nouveaux billets afin de ne pas attendre des semaines avant de pouvoir prendre l'avion. Il faut noter que vu la quantité de personnes qui attendent, même si les vols reprennent, il faudra du temps pour rapatrier tout le monde. Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'une pression énorme est sur les compagnies aériennes qui devront rembourser plusieurs billets. On dirait bien que ces derniers temps, dame nature est bien décidée à s'attaquer à l'économie de plusieurs pays, car avouons que tous ces problèmes vont probablement affecter le tourisme et surtout les compagnies aériennes.
RépondreSupprimer1,7 milliards de dollars perdus pour les compagnies aérienne, des dixaines de milliers de voyageurs contraints de ne pas pouvoir retourner dans leur pays. Voici donc les conséquences de l'éruption du volcan islandais. Les compagnies aériennes réclament un dédommagement pour les frais occasionnés par cette irruption alors qu'on sait très bien que les ces compagnies font des profits faramineux. Pourquoi faire payer un pays pour une catastrophe naturelle qui est survenue dans son territoire? Certes les compagnies ont perdus une somme importante, mais l'argent perdu a été remboursé en partie par l'ajout des vols servant à rapatrier les voyageurs. Le moins que l'on puisse dire, c'est que les compagnies aériennes restent avares même en temps de crise.
RépondreSupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerL'explosion de ce volcan, situé sous le glacier Eyjafjallajokull, à résulté d'un énorme nuage noir paralysant tout le ciel de l'Europe. C'est ainsi que les couloirs aériens les plus utilisés au monde se sont vue désertés de toutes avions, avec raison bien entendu. En fait, l'une des causes principales est celles de la composition de ce nuage. En fait, ces cendres qui voltigent dans le ciel contiennent des particules microscopiques fortement abrasives. Elles ont entre autre dans leur composition, des matériaux qui entre dans la fabrication du verre. Donc, si un avion se voyait traverser ces particules, il serait prit d'éclats de millions de cristaux à l'intérieurs de ses moteurs. Voilà une raison valable il me semble pour prendre congé de balades aériennes. Ce volcan s'est réveillé après 200 ans de sommeil le 20 mars dernier, s'est rendormit puis a explosé mercredi le 14 avril. Ces répercutions sont estimés à maximum quelques mois, mais on ne peut estimer précisément la durée d'un réveil de volcan et mesurer les dégâts qu'il produira. Il ne reste qu'à souhaiter que ses répercutions, soufflées par les vents, n'aboliront pas les possibilités de périodes agraires de plusieurs régions africaines.
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